Le sommet extraordinaire de la Troïka des organes de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) s’est déroulé virtuellement ce mardi 11 juillet. Il a été dirigé par le président zambien, Hakainde Hichilema. Les chef d’Etat et de gouvernement ont discuté de la situation sécuritaire qui prévaut dans la région, en particulier en République démocratique du Congo (RDC) et au Mozambique.
Sur la base de rapports complets présentés par le Secrétariat de la SADC et d’autres organismes compétents, les dirigeants régionaux ont collectivement convenu d’une série de mesures visant à relever les défis rencontrés dans certaines parties de la région.
« Ces mesures ont pour but de promouvoir une paix et une sécurité renforcées, facilitant ainsi le bon fonctionnement de nos pays respectifs », a indiqué le président Hakainde Hichilema, soulignant qu’ils ont réaffirmé l’importance vitale d’un environnement pacifique en tant que condition indispensable au développement économique et à la prospérité de leurs peuples.
« En nous attaquant activement à ces problèmes de sécurité, nous sommes déterminés à créer un climat propice au progrès et au bien-être dans toute la région », a-t-il ajouté.
Et d’ajouter : « Nous assurons que nous resterons pleinement engagés dans l’examen de ces questions et d’autres questions pertinentes relatives à la sécurité régionale. Notre dévouement à promouvoir la paix et la stabilité dans la région de la SADC reste résolu ».
Parmi les présidents qui ont participé à ce sommet, il y a Félix Tshisekedi de la RDC, Cyril Ramaphosa de l’Afrique du Sud, Emmerson Mnangagwa du Zimbabwe, Filipe Nyusi du Mozambique et Lazarus Chakwera du Malawi.